Observatoire de l’accidentalité locale

L’accès à la plateforme est réservé aux acteurs de sécurité routière et se fait sur inscription. Pour vous inscrire, complétez le formulaire accessible via le bouton « S’inscrire » plus haut sur cette page. Notez que seules les adresses email nominatives sont acceptées (pas d’adresse générique).

Une fois votre inscription validée par nos services, vous recevrez un email de la part d’ArcGIS vous permettant d’activer votre compte et d’accéder à l’Observatoire. [Voir question « Comment activer son compte ArcGIS ? (Première connexion à la plateforme) »].

Avant de pouvoir accéder à la plateforme, vous devez activer votre compte ArcGIS. Pour cela, suivez le lien contenu dans l’e-mail automatique que vous avez reçu de la part d’ArcGIS et définissez un mot de passe. [Voir question « Comment obtenir l’accès à l’Observatoire de l’accidentalité locale ? »]

1. Ouvrez l’e-mail automatique envoyé par ArcGIS, puis cliquez sur le lien d’activation.
2. Créez votre mot de passe, en respectant les critères de sécurité indiqués.
3. Cliquez sur « Changer le mot de passe » (même si c’est la première fois que vous en définissez un).
4. Choisissez une question de sécurité.

Cette opération n’est à effectuer qu’une seule fois. Notez que le lien d’activation n’est valable que 14 jours.

Une fois votre compte activé [voir les deux questions ci-dessus], vous pouvez accéder directement à l’Observatoire en cliquant sur ce lien.

Pensez à enregistrer ce lien dans vos favoris pour un accès rapide.

Connectez-vous à votre compte ArcGIS. Le nom d’utilisateur est au format « prenom_nom ». Il est mentionné dans l’email que vous avez reçu d’ArcGIS pour activer votre compte. Vous pouvez cocher la case « Rester connecté » pour ne pas devoir saisir votre mot de passe à chaque fois.

Oui, il est possible de consulter l’Observatoire depuis un smartphone ou une tablette. Cependant, pour une expérience optimale en termes d’ergonomie et de lisibilité, nous vous recommandons d’utiliser un ordinateur, de préférence avec le navigateur Google Chrome.

Pour toute demande d’information complémentaire à cette FAQ, question sur l’outil, signalement d’incohérences ou besoin de données/statistiques supplémentaires, n’hésitez pas à envoyer un message à l’adresse suivante : stat@awsr.be. Les suggestions d’amélioration sont aussi les bienvenues à cette adresse.

Les questions relatives à l’accès à la plateforme (inscription, problèmes de connexion, réinitialisation du mot de passe…) sont à adresser à conseil.amenagements.infrastructures@spw.wallonie.be.

Lors de l’ouverture d’un outil ou lors de l’utilisation de filtres, un délai de chargement peut parfois être observé. Cela s’explique par le volume important de données traitées (cartes, graphiques, indicateurs, etc.). Nous vous invitons à faire preuve de patience pendant ces quelques instants. Ces délais sont normaux et nécessaires au bon fonctionnement de la plateforme.

Pour l’outil « Carte de densité des accidents » spécifiquement, le chargement des données n’est complet que lorsque les traits sont bien alignés sur le réseau routier.

Les statistiques d’accidents corporels proviennent des données officielles d’accidents fournies par Statbel, du Service Public Fédéral Économie.

Statbel (DG Statistique – Statistics Belgium) : Service Public Fédéral Direction Générale Statistique et Information Economique

Lorsqu’un accident de la route entraîne des lésions corporelles, les personnes impliquées sont légalement tenues d’avertir les services de police. Ceux-ci encodent toutes les informations constatées sur place dans un outil informatique dédié qui produit à la fois le procès-verbal de l’accident (PV) et qui alimente la banque nationale des accidents corporels de la circulation. Cette base de données est gérée et centralisée par les services de la police fédérale. Une fois par an, la police fédérale transmet cette base de données à Statbel qui effectue quelques vérifications et ajoute quelques informations via une liaison avec d’autres bases de données (registre national, formulaires des Parquets relatifs aux décès dans un accident de la route, etc.). De cette base de données « retravaillée » sont issus les chiffres officiels (et définitifs) de l’accidentalité en Belgique, et donc ceux repris dans cet Observatoire. Notez que seuls les accidents survenus sur la voie publique dans repris dans ces statistiques officielles.

Les trois outils actuellement proposés dans l’Observatoire reposent tous sur une base commune : les accidents corporels enregistrés par la police, c’est-à-dire les accidents de la route survenus sur la voie publique et ayant causé au moins un blessé ou un tué [Voir aussi « Quelle est la source des données ? »]. En ce sens, ils ne contiennent pas d’informations sur les accidents strictement matériels.

Tous les accidents de la route corporels ne figurent toutefois pas dans les statistiques officielles. En effet, ils ne sont pas toujours signalés aux services compétents, comme cela devrait être le cas en théorie. Cette sous-déclaration concerne particulièrement les accidents légers (ne provoquant que des blessures mineures) ou ceux n’impliquant qu’un seul usager (chute, collision contre un obstacle…). Ainsi, les accidents corporels recensés dans les statistiques officielles et dans le présent Observatoire constituent une sous-estimation du nombre réel d’accidents.

Non, à l’heure actuelle, seul les accidents corporels (c’est-à-dire ayant causé au moins un blessé ou un tué) sont repris dans les statistiques de l’Observatoire.

La localisation des accidents est effectuée par la Police fédérale, sur la base des informations fournies par les policiers intervenus sur les lieux. L’AWSR apporte ensuite des corrections supplémentaires afin d’affiner la carte. Malgré ces efforts conjoints, certains accidents ne peuvent être localisés, faute de données suffisantes. En 2024, environ 82% des accidents corporels ont pu être précisément localisés.

Il est à noter que les corrections apportées par l’AWSR peuvent parfois entraîner une modification de la commune, de la zone de police ou de la province associée à un accident. Ce travail permet également de réattribuer à une entité territoriale donnée (commune, province, zone de police…) certains accidents dont la localisation était imprécise. Ces ajustements peuvent expliquer de légères différences avec les chiffres officiels publiés par Statbel pour certaines entités géographiques.

• Sources et traitements des données : Les données de l’Observatoire proviennent de Statbel, qui se base sur les informations transmises par la police. Avant leur publication, Statbel procède à diverses vérifications, corrections et enrichissements (par exemple, en croisant les données policières avec d’autres bases de données). Ces traitements peuvent entraîner de légères divergences avec les chiffres issus directement des services de police.
• Corrections de géolocalisation : Lorsque cela est possible, l’AWSR procède à des ajustements afin d’améliorer la précision de la localisation des accidents. Ces corrections permettent de réattribuer certains accidents initialement non localisés à une entité territoriale donnée (commune, province, zone de police…). Elles peuvent aussi parfois modifier la commune, la zone de police ou la province associée à un accident. Ces traitements complémentaires expliquent ainsi de légères différences pouvant exister entre les chiffres de l’Observatoire et ceux publiés par Statbel ou d’autres sources.

Les données utilisées dans cette plateforme sont les données officielles, telles que mises à disposition par Statbel (à l’exception de l’ajustement de la géolocalisation, voir la question « Comment sont géolocalisés les accidents ? »). La qualité des analyses produites en dépend directement.
Malgré un traitement rigoureux, certaines incohérences ou erreurs peuvent apparaître. Celles-ci peuvent provenir des données sources, sur lesquelles cette plateforme n’a pas de contrôle.

Vous pouvez néanmoins nous en faire part en nous envoyant un mail à stat@awsr.be.

Accident corporel : Tout accident impliquant au moins un véhicule et ayant eu lieu sur la voie publique, qui a occasionné des dommages corporels à au moins un des usagers. Sont exclus tous les accidents survenus sur un terrain privé accessible au public (ex : parking d’un magasin) ou les accidents n’impliquant que des piétons.

Accident mortel : Accident ayant entrainé le décès d’au moins un des usagers impliqués.

Accident grave : Accident ayant grièvement blessé au moins un des usagers impliqués, mais n’ayant pas entrainé de décès.

Accident léger : Accident n’ayant entrainé que des blessés légers.

Décédé 30 jours : Toute personne décédée suite à un accident de la circulation. Cette catégorie regroupe les personnes décédées sur le lieu de l’accident (« tués sur place ») et celles décédées des suites de leurs blessures dans les 30 jours suivant l’accident (« mortellement blessés »).

Blessé grave : Toute personne blessée dans un accident de la circulation et dont l’état nécessite une hospitalisation de minimum 24h.

Blessé léger : Toute personne blessée dans un accident de la circulation et dont l’état nécessite des soins médicaux et éventuellement une hospitalisation de moins de 24h.

Victime : Toute personne blessée ou décédée suite à un accident de la circulation. Les personnes impliquées dans un accident mais en étant sorties indemnes physiquement ne sont donc pas reprises sous cette définition de « victime », bien qu’elles puissent évidemment souffrir d’autres conséquences de l’accident.

Gravité des accidents : Nombre de décédés pour 1000 accidents corporels enregistrés.

Conducteur et passager : Tout usager de la voie publique qui assure la direction d’un véhicule est un conducteur. Par opposition, un passager ne participe pas activement à la circulation. Par extension, les piétons sont considérés comme des conducteurs.

Piéton : Usager de la route se déplaçant à pied ou poussant un vélo ou un cyclomoteur ainsi que l’usager en chaise roulante.

Vélo (bicyclette) : Véhicule à 2 ou 3 roues dont la force motrice principale est fournie par son conducteur (appelé « cycliste ») grâce à un pédalier. Les vélos à assistance électrique (jusqu’à 25 km/h) sont intégrés à cette catégorie.

Cyclo(moteur) : Véhicule à 2, 3 ou 4 roues d’une puissance maximale de 50 cm³ et pouvant atteindre la vitesse de 45 km/h au maximum, à l’exception des engins de déplacement motorisés. Il existe des cyclomoteurs de type A (ne dépassant pas 25 km/h) ou B (maximum 45 km/h). Les « speed pédélecs » sont assimilés à des cyclomoteurs de classe B.

Moto(cyclette) : Tout véhicule à deux roues, motorisé, avec ou sans side-car, dont la cylindrée est supérieure à 50 cm³ et/ou qui roule à une vitesse supérieure à 45 km/h.

2RM – Deux-roues motorisé : Véhicule à moteur possédant deux roues. Cette catégorie comprend les cyclomoteurs, les speed pédélec et les motocyclettes, quelle que soit leur cylindrée.

Voiture : Véhicule motorisé (de catégorie M1) destiné au transport de personnes ou de marchandises, comprenant au maximum 8 places en plus du siège conducteur (Voiture, minibus ou camping-car).

Camionnette : Véhicule motorisé (de catégorie N1) destiné au transport de marchandises avec une masse maximale autorisée de 3,5 t.

Camion / poids lourd : Véhicule motorisé (de catégorie N2 ou N3) destiné au transport de marchandises avec une masse maximale autorisée supérieure à 3,5 t, ou tracteur routier avec ou sans semi-remorque.

Autocar/bus : Véhicule motorisé (de catégorie M2 ou M3) destiné au transport de personnes avec une masse maximale autorisée supérieure à 3,5 t.

Jour / journée : De 6h00 à 21h59.
Nuit : De 22h00 à 5h59 le jour suivant.
Semaine : Du lundi 06h00 au vendredi 21h59.
Week-end : Du vendredi 22h00 au lundi 5h59.

Conducteur testé : Conducteur (impliqué dans un accident) ayant été soumis à un test d’haleine ou l’ayant refusé.

Conducteur sous influence (ou conducteur « positif ») : Conducteur dont la concentration d’alcool dans le sang ou dans l’air expiré est supérieure ou égale au seuil que prévoit la loi ou conducteur ayant refusé le test. La limite légale est fonction du statut professionnel ou non du conducteur. Elle est de 0,22 mg/litre d’air alvéolaire expiré (test d’haleine) ou 0,5 g/litre de sang (prise de sang) pour la majorité des conducteurs, et de 0,09 mg/litre d’air alvéolaire expiré (test d’haleine) ou 0,2 g/litre de sang (prise de sang) pour les conducteurs professionnels (camion, autocar/bus ou taxi).

Pour les piétons, le code de la route ne prévoit aucune limite légale mais interdit d’être en état d’ivresse sur la voie publique. Pour pouvoir comparer l’imprégnation alcoolique des piétons impliqués dans les accidents avec celle des conducteurs de véhicule, la police enregistre néanmoins si les piétons testés dépassent ou non le seuil de 0,22 mg/litre d’air alvéolaire expiré (test d’haleine) ou 0,5 g/litre de sang (prise de sang).

La carte de densité des accidents montre les tronçons de route sur lesquels les accidents sont les plus fréquents. Elle se base sur une période de 5 ans. Les tronçons de route sont classés en plusieurs catégories selon le niveau de densité d’accidents observé. Pour faciliter la lecture, seuls les tronçons présentant une densité d’accidents significative sont affichés.

Zoomez sur la carte pour distinguer précisément les tronçons.

[Voir aussi la question « Comment lire la carte de densité des accidents ? Comment l’interpréter ? »]

La carte de densité des accidents par segments routiers repose sur la localisation des accidents. Elle utilise une méthode statistique (la méthode d’estimation par noyaux linéaires) pour identifier les zones où la concentration d’accidents est la plus élevée. Cette approche permet de mieux visualiser les tronçons routiers présentant un nombre accru d’accidents, en tenant compte à la fois de l’emplacement des accidents et de la structure du réseau routier.  [Voir aussi la question « Qu’est-ce que la « densité des accidents » ? Comment est-elle calculée ? »]

Remarque importante : une zone à forte concentration d’accidents n’est pas forcément une zone à risque au sens commun du terme. En fait, un grand nombre d’accidents peut simplement résulter d’un trafic important, et non d’un danger particulier lié à l’endroit lui-même. En réalité, le nombre d’accidents dépend à la fois du niveau de risque propre à la zone et de l’intensité (et des caractéristiques) de la circulation. Ainsi, un tronçon très fréquenté peut enregistrer de nombreux accidents sans être intrinsèquement dangereux.

La densité d’accidents est calculée sur base des accidents corporels survenus au cours d’une période de 5 ans. Ces accidents sont issus de la base de données officielle des accidents du SPF économie (Statbel). Ce sont les mêmes accidents que ceux qui apparaissent sur l’outil « Carte des accidents ».

La densité d’accidents d’un segment est calculée sur base du nombre d’accidents survenus sur ce segment ainsi que dans son voisinage immédiat (jusqu’à 300 mètres). Plus un accident est proche du centre du segment, plus il impacte à la hausse l’indicateur de densité. De la sorte, ressortiront comme zones à concentration d’accidents les points précis où les accidents sont fortement concentrés mais également les tronçons de route où plusieurs accidents se produisent à proximité les uns des autres.

Le calcul de la densité d’accidents ne tient pas compte du (volume du) trafic routier. Il est évident, qu’à type d’infrastructure similaire, un trafic plus important conduira généralement à davantage d’accidents. La carte représente donc bien un risque absolu (les endroits où le plus grand nombre d’accidents se produisent) et non un risque relatif (les lieux où un conducteur a la plus forte probabilité d’avoir un accident en y circulant). À terme, d’autres outils intégrant les données de trafic sont envisagés afin d’affiner cette analyse.

Les résultats de l’indicateur de densité ont été répartis en plusieurs classes. Pour plus de lisibilité, les segments présentant une densité d’accidents faible ou nulle ne sont pas représentés sur la carte. Pour les autres classes, la valeur médiane du nombre d’accidents est la suivante :

• Densité moyenne : 2,5 accidents par 100m tous les 5 ans
• Densité forte : 4,0 accidents par 100m tous les 5 ans
• Densité très forte : 6,5 accidents par 100m tous les 5 ans

Notez que derrière ces valeurs médianes existe une variabilité importante d’un segment à l’autre. Pour obtenir une vision précise des accidents survenus dans les zones à concentration d’accidents, nous vous invitons à consulter l’outil « Carte des accidents ».

Points d’attention :

• L’analyse a été effectuée sur toutes les routes du réseau routier à l’exception des autoroutes. Celles-ci seront ajoutées à l’outil ultérieurement.
• La base de données des accidents permet rarement de déterminer dans quel sens de circulation ont eu lieu les accidents. La densité d’accidents est donc calculée pour les deux sens de circulation à la fois, même dans le cas de routes à chaussées séparées. Par convention, dans le cas de ces routes à chaussées séparées, c’est toujours le sens croissant (des bornes kilométriques) qui est représenté sur la carte.

Les tronçons de route sont classés en plusieurs catégories selon le niveau de densité d’accidents observé. Pour alléger la carte et en faciliter la lecture, seuls les tronçons présentant une densité d’accidents significative sont affichés. L’absence de trait (de couleur) sur un segment signifie donc qu’aucun accident n’y a été recensé en 5 ans, ou qu’un seul accident isolé s’y est produit.

Cela est lié au chargement des données, qui peut prendre quelques instants, que ce soit lors de l’ouverture de l’outil, lors de l’utilisation de filtres ou lors d’un déplacement de la carte. Nous vous invitons à faire preuve de patience pendant ces quelques instants. Le chargement n’est complet que lorsque les traits sont bien alignés sur le réseau routier.

Le bandeau horizontal bleu propose trois filtres spatiaux (direction territoriale, zone de police, commune). Vous pouvez centrer la carte et restreindre l’affichage des informations à un territoire donné grâce à ces filtres. Il est recommandé de n’utiliser qu’un seul de ces filtres à la fois.

Il est possible de modifier le fond de carte, notamment afin de passer en vue aérienne. Pour cela, cliquez sur l’icône représentant 4 petits carrés  en haut à droite de la carte et choisissez le fond que vous souhaitez.

• Pour déplacer la carte : cliquer n’importe où sur la carte, maintenir enfoncé et déplacer la souris.
• Pour zoomer : utiliser les icônes « + » et « – » en bas à droite de la carte .
• Pour zoomer sur une entité géographique spécifique : utiliser les menus proposés dans le bandeau bleu.
  • Notez que le filtre « Zone de police » se base sur le lieu de survenue de l’accident et non l’unité de police ayant constaté l’accident. Ainsi, les accidents constatés par la police fédérale (la police de la route, WPR) sont rattachés au territoire de la zone de police locale correspondant au lieu de l’accident.
• Pour rechercher une rue ou un lieu précis : cliquer sur l’icône « Loupe » en haut à droite de la carte, et introduire l’adresse (ou l’entité).

Pour rechercher une rue ou un lieu précis, cliquez sur l’icône « Loupe »  en haut à droite de la carte, et introduisez l’adresse (ou l’entité). La carte zoomera automatiquement sur cette rue.

Comment imprimer ou sauvegarder la carte ?

L’outil « Carte de densité des accidents » ne dispose pas de fonction ou de bouton « Imprimer ». La meilleure solution pour conserver une copie de la carte est d’effectuer une capture d’écran, à l’aide de la touche correspondante de votre clavier ou d’un outil ou une application de capture installé(e) sur votre ordinateur.

L’outil « Carte de densité des accidents » ne dispose pas de fonction ou de bouton « Imprimer ». La meilleure solution pour conserver une copie de la carte est d’effectuer une capture d’écran, à l’aide de la touche correspondante de votre clavier ou d’un outil ou une application de capture installé(e) sur votre ordinateur.